mardi 1 mai 2012

Pépito, mon petit lapin d'amour

Bonjour à tous, Maintenant je peux vous en parler sans pleurer. Je voulais vous informer que suite à une longue maladie, Pépito, mon petit lapin adoré, nous a quitté le samedi 21 avril dernier, à l'âge de cinq ans et demi. Il me manque beaucoup, c'était un petit lapin formidable, gentil et joueur et qui a marqué tous ceux qui l'ont connu. Je vous mets une de mes photos préférées de lui et moi et je vous remercie de votre soutien. Je continuerai de le dessiner et il continuera de vivre à travers ces petits dessins. Ce petit lapin-ange veille sur nous désormais du paradis. "Pépito, je te remercie de nous avoir choisi, car c'est bien toi qui nous a choisi et pas l'inverse. Je suis contente de l'avoir rencontré, tu as apporté plus que de la joie dans ma vie." Patricia

2 commentaires:

Linda a dit…

C'est un bel hommage que tu lui rends! C'était un lapin courageux et bogosse en plus ^^ Il dégageait tellement de choses et était tellement expressif qu'il a tout de suite fait craquer mon copain qui n'était pas du tout "animaux". C'était un lapin magique et il a eu une belle vie de lapin grâce à vous et votre amour! Courage, vous avez tout mon soutien.

CyberFred a dit…

Bonsoir Patricia,

Je viens de découvrir ce soir cette triste nouvelle. J'aime les animaux car ils nous accompagnent avec beaucoup d'amour et nous apprennent beaucoup au cours de leur trop courte vie par rapport à la nôtre. Il est particulièrement déchirant d'en être séparé. Et je peux comprendre ta tristesse. Pépito sait qu'il a été aimé et que ces dessins de lui (avec sa mignonne bouille) que tu feras perdureront sa mémoire pour nous tous, visiteurs anonymes et amis qui te soutiennent. De là où il se trouve actuellement, Pépito envoie toujours de l'amour, il est heureux pour toi, et tes proches. La séparation est triste, mais les jours heureux avec Pépito t'accompagneront toujours. Merci à Pépito pour la joie qu'il a semée jusqu'au bout tout autour de lui, qu'on a vue à travers tes ouvres. Ne baisse pas les bras, Patricia, et bon courage à toi.

Cyb